Hello à tous, j’espère que vous allez bien !
J’ai décidé d’écrire cet article sur un sujet qui est malheureusement très souvent abordé sur les réseaux, et auquel on fait d’autant plus attention lorsque l’on est créateur de contenu (même à une échelle raisonnable) : la pression liée aux réseaux sociaux. De mon côté, je vais me contenter d’en parler uniquement à travers ce que je connais c’est-à-dire bookstagram.
La pression des chiffres
Il était évident pour moi ce traiter les chiffres en premier : lorsque tu t’inscris sur un réseau social, et pour le coup cela n’est pas inhérent qu’au réseau du livre, la première chose que tu vois ce sont les chiffres.
S’ensuit alors une conscience omniprésente de ton nombre d’abonnés, du nombre de likes que tu générés…
Qu’en est-il pour moi ? Je ne fais pas trop attention au nombre d’abonnés mais plutôt aux réactions que je suscite à travers mon contenu. Je me remets donc en question dès lors qu’une publication/ réel/ article sur le blog fait un bide, et je tente de rectifier le tir sur le contenu qui suit.
Cependant il faut faire attention à ce genre de raisonnement : l’algorithme Instagram est totalement dans l’équation. Il est possible que cette publication ait été postée au mauvais moment, après une mise à jour de l’algorithme ou en même temps qu’une autre mise en avant par celui-ci, etc.
Bref vous l’avez compris : pour moi, il est humain de s’intéresser à ses chiffres et ses statistiques, je ne ferais pas l’hypocrite en vous disant qu’il faut tout arrêter car c’est mauvais pour vous. En revanche, soyez prudents et surtout ne vous mettez pas dans un état négatif pour quelques abonnés ou likes.
La pression de l’efficacité sur bookstagram
Bon… Ça y est, tu maintiens ton compte bookstagram depuis plusieurs mois et la vie est belle, tu échanges quotidiennement au sujet de tes lectures, tu te fais des amis, tu fais des lectures communes, le rêve !
Arrivent tout à coup les services presse (SP : envoi gratuit d’un livre par une ME à l’occasion de sa promotion), et tout change. Tout à coup, tes lectures ne reposent plus à 100% sur ta passion mais également sur certaines attentes de personnes tierces. Tu commences à faire des listes, à prioriser, à te forcer à lire pour pouvoir publier une chronique aussi vite que possible…
Ici qu’une chose à dire : STOP. Je n’ai personnellement pas ce genre de pression, et dès que je la sens montée (souvent après avoir regardé la pile de SP sur mon étagère 😅) je me calme immédiatement.
À mes yeux, l’aventure Bookstagram est un plaisir, une passion, et je ne veux en aucun cas que cela devienne une charge mentale pour moi. Oui, je suis ravie de recevoir des ouvrages géniaux gratuitement et merci beaucoup à mon audience pour ça ! MAIS si on remet l’église au centre du village, je fais de la promotion gratuitement pour la maison d’édition, autant le faire correctement, et peut-être publier ma chronique plusieurs mois après la sortie d’un livre, c’est tout à fait acceptable !
La pression du contenu
Le contenu… j’imagine que cela est vrai également pour tous les réseaux, et pas seulement bookstagram. Pour moi, cette pression est présente pour Instagram mais également même pour ce blog.
Comment être sûr de publier du contenu qui plaira ? Comment varier son contenu ? Comment ne pas lasser ? etc etc etc.
Franchement, j’ai aucune réponse et pour le coup je suis complètement sujette à ces réflexions. J’imagine parfois que cette pression fait partie intégrante du processus de création, puisque souvent on en sort de nouvelles idées, de l’inspiration… J’ose imaginer que bookstagram est une grande communauté bienveillante, et je pense que nous nous inspirons tous les uns les autres !
Je teste, je change, je crée, j’innove, je m’inspire… et finalement c’est la pression la plus acceptable de toutes car ce cycle de création est un des aspects que je préfère dans cette aventure !
Les amis : have fun !
La lecture, et tout autre thème, reste une passion ! Pour la majorité d’entre nous ce n’est qu’un passe-temps. Prenez plaisir, n’oubliez pas votre objectif qui est, j’imagine, d’en sortir que des choses positives !
N’hésitez pas à prendre une pause si votre relation aux réseaux devient trop toxique, personne de vous en voudra pour ça.
Prenez soin de vous 💛
On peut en parler en commentaire si ça te dit ⏬️
A très vite, Mathilde.
Je t’avoue ne ressentir aucune pression sur Instagram l’utilisant peu. Mais je ressens parfois un peu la pression du contenu pour le blog où j’essaie de publier tous les jours, ce qui peut parfois être difficile à tenir…
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Tous les jours ??? Je comprends que ça puisse parfois être un peu difficile… 🙏
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