Résumé du Livre de Poche
❝Isolte et Viola sont jumelles. Inséparables dans leur enfance, les deux sœurs se parlent à peine aujourd’hui. Isolte est rédactrice dans un magazine de mode et partage la vie d’un photographe en vue. Viola, détruite par l’anorexie, se consume peu à peu sur un lit d’hôpital. Pourquoi leurs chemins ont-ils pris des directions si différentes ? Quelle tragédie les a séparées ? Alors qu’elles tentent de démêler les fils du souvenir d’un été enfoui dans leur mémoire, les terribles secrets de leur passé remontent à la surface, menaçant de bouleverser leur vie à jamais.❞
Un incroyable premier roman très habilement mené. Marie France.
Magnifique et haletant. Elle.
Il souffle dans chaque page le même vent sauvage que dans Les Hauts de Hurlevent. Figaro Madame.

Ma chronique
⭐⭐⭐💫💫 / 5
J’ai passé un bon moment à lire ce « thriller ». J’avoue que quand on me dit « thriller », je m’attends à un rythme haletant, un livre qu’on ne lâche PRESQUE pas jusqu’à la fin. Ce n’était pas le cas pour celui-ci, c’est pourquoi je dirais que cela reste un thriller très léger. Il ne faut pas s’attendre à un twist incroyable.
J’ai trouvé en revanche sa lecture facile, et je suis restée tout de même dans l’histoire, car je me suis attachée aux personnages.
Nous suivons Isolte et Viola, des jumelles étant très attachées, mais qui s’éloignent désormais. On découvre leur histoire en alternant entre passé et présent, les flashbacks n’étant pas forcément dans un ordre chronologique. J’ai adoré ce format et je pense que c’est ça qui m’a fait m’impliquer dans ce roman.
Une des sœurs est malade, anorexique et psychologiquement fragile, l’autre semble accomplie, mais souffre de l’état de sa sœur.
Tout au long du roman nous découvrons donc ce qui a séparé ces deux sœurs pourtant si proche, et ce qui a consumé Viola jusqu’à l’anorexie.
Je ne vous en dis pas plus et vous laisse découvrir ce roman si cela n’a pas déjà été fait !
Si vous l’avez lu, ou si ça vous dit bien, n’hésitez pas à commenter l’article ou à me retrouver sur Instagram !
À très vite pour d’autres chroniques…
Mathilde