Résumé de l’éditeur Fleuve Editions
❝J’écris de chez les moches, pour les moches, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, toutes les exclues du grand marché à la bonne meuf, aussi bien que pour les hommes qui n’ont pas envie d’être protecteurs, ceux qui voudraient l’être mais ne savent pas s’y prendre, ceux qui ne sont pas ambitieux, ni compétitifs, ni bien membrés.
Parce que l’idéal de la femme blanche séduisante qu’on nous brandit tout le temps sous le nez, je crois bien qu’il n’existe pas.
V.D.
En racontant pour la première fois comment elle est devenue Virginie Despentes, l’auteur de Baise-moi conteste les discours bien-pensants sur le viol, la prostitution, la pornographie. Manifeste pour un nouveau féminisme..❞

Ma chronique
⭐⭐⭐⭐⭐ / 5
Dans cet essai, Virginie Despentes se présente, raconte son histoire, nous montre comment elle est devenue LA Virginie Despentes que nous connaissons aujourd’hui : une auteure reconnue, mais surtout féministe.J’ai lu ce livre très rapidement, car il est court, mais surtout parce que le sujet abordé est prenant. Je ne pense pas que ce soit un livre qu’il faut lire par slaves. En tout cas, je le lirais de façon entrecoupée maintenant que je le connais dans son intégralité.Elle nous guide sur son chemin, le chemin qu’elle a parcouru en direction du féminisme, son propre chemin vers une prise de conscience.
J’ai passé un bon moment, car le franc-parler de Virginie Despentes me plaît toujours autant, mais surtout ces références et son histoire m’ont marqué.
J’ai été aspirée par cet essai, cet essai féministe qui m’a fait réagir, mais surtout un essai réaliste. Après avoir lu quelques critiques sur Babelio, je me dis que peut-être ce qui dérange est justement ce côté réaliste… Elle ne fait pas que référencer des écrits ou connaissances, elle parle de sa propre histoire.Vous avez compris, je suis séduite, je le recommande à tous ceux qui sont prêts à ouvrir leurs esprits.
Si vous l’avez lu, ou si ça vous dit bien, n’hésitez pas à commenter l’article ou à me retrouver sur Instagram !
À très vite pour d’autres chroniques…
Mathilde